Home > Amérique du Nord > Bermudes > Enceinte à Tokyo, j’ai accouché aux Bermudes
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Nous remercions de tout coeur MumInBermuda, qui a été enceinte à Tokyo et a accouché aux Bermudes, pour partager son importante expérience.

Une première grossesse à l’étranger… Je l’ai vécue non pas dans un pays mais deux! Je ne vais pas vous le cacher, ce n’était pas évident tous les jours. Mais cette expérience m’a beaucoup enrichie et surtout m’a apporté mon rayon de soleil quotidien, connu sous le nom de « Petit Poulet ».
J’ai eu la chance de vivre une « grossesse facile ». Cela m’a permis de voyager sans aucun souci. Les 6 premiers mois, j’étais enceinte à Tokyo, et j’ai été suivie au Japon. Puis, mon mari s’est vu proposé un nouveau job aux Bermudes. Alors nous avons déménagé, et après avoir passé quelques semaines de vacances en France, j’ai accouché aux Bermudes en février 2009.

Enceinte à Tokyo

Bermuda1Comme beaucoup d’expats, nous avions choisi la Tokyo Medical and Surgical Clinic, en face de la Tokyo Tower, pour notre suivi médical (ils ont des médecins généralistes et aussi des spécialistes, dont deux gynécologues obstétriciens). Tous les médecins et infirmières y parlent anglais, et certains même français. J’ai beaucoup apprécié la gentillesse et la disponibilité de l’équipe dans cette clinique. En plus, il y a une pharmacie au rez-de-chaussée, avec des pharmaciennes qui parlent également anglais. Très pratique donc.

J’ai été suivie par le Docteur B. qui exerce à la Tokyo Clinic ainsi qu’à l’hôpital Aiiku (dans le quartier de Hiroo). C’est dans cet hôpital que mon accouchement était prévu, jusqu’à ce que l’on apprenne que nous allions quitter le Japon. J’ai plutôt eu de bons échos sur l’Aiiku, il accueille beaucoup de femmes expatriées enceintes, et des japonaises aussi (dont une des princesses de la famille impériale de mémoire!). Toutefois, j’ai lu récemment dans un journal japonais que l’hôpital souffrait d’un manque de personnel (gynécologues et pédiatres), et qu’ils allaient devoir restreindre l’ouverture des urgences néo-natales (en gros, ils ne pouvaient plus assurer des accouchements 24h sur 24h)… Mais comme je n’habite plus au Japon, je ne peux pas vous en dire plus!

Pour ce qui concerne le suivi de ma grossesse avec le Dr B., je préfère vous dire que le courant n’était pas très bien passé. En effet, il a été souvent en retard pour nos rendez-vous (genre 1 ou 2h de retard quand même!) et comme mon mari devait s’absenter du bureau à chaque fois, c’était pénible… Ensuite, j’ai trouvé qu’il ne répondait pas très bien à nos questions d’homme et de femme « enceint(e)s », novices et angoissés! Même si je n’ai pas eu de soucis majeurs pendant les premiers mois, j’ai quand même eu des petits bobos de femme enceinte et il ne m’a pas beaucoup aidée pour me rassurer, mais ça doit être une question de feeling! Certaines mamans m’avaient conseillé plutôt le Dr Sakamoto (qui consulte aussi à la Tokyo Clinic), mais finalement comme nous avons quitté Tokyo, je n’ai pas eu besoin de changer de médecin.

La bonne surprise au Japon, c’est que nous avons eu droit à une échographie à chaque visite mensuelle! Laughing On a donc pu voir bébé sous toutes les coutures. C’était génial… On attendait avec impatience la nouvelle photo du « Petit Poulet » tous les mois (enfin à l’époque, on l’appelait la « Petite Crevette »). Par ailleurs, les prises de sang sont presque les mêmes qu’en France ou aux Bermudes, et on peut même demander des prises de sang supplémentaires si on le souhaite (par exemple, la toxoplasmose pour les françaises). L’infirmière qui s’occupait des prises de sang à l’Aiiku était adorable, elle s’excusait avant ET après m’avoir piquée car elle avait très peur de me faire mal! En dehors des échos mensuelles, il y avait aussi tous les mois des examens classiques (pesée, contrôle de la tension et analyse urinaire).

Les premiers mois à Tokyo se sont donc bien passés. Ah oui, j’ai oublié de préciser que nous avons une bonne mutuelle (celle de l’entreprise française de mon mari). Tous nos frais médicaux ont donc été couverts à 100%. Je ne sais pas comment fonctionnent les remboursements si vous utilisez la carte de Sécurité Sociale japonaise. J’en avais une, mais je ne l’ai jamais présentée à l’Aiiku (à noter: la Tokyo Clinic n’accepte pas les cartes de Sécu japonaise). Pour les consultations à la Tokyo Clinic (environ 100 euros pour la gynécologie), vous pouvez bénéficier du tiers payant pour certaines mutuelles. Vous n’avez donc pas besoin d’avancer de l’argent. Par contre, pour mes consultations à l’hôpital Aiiku, je payais les factures au fur et à mesure, et j’envoyais ensuite les fiches de remboursement à la mutuelle. Comme j’ai accouché ailleurs au final, je n’ai pas eu à me renseigner pour le prix des accouchements à l’Aiiku. De même, je ne sais pas comment se passent les cours de préparation à l’accouchement là-bas. On m’avait proposé de les suivre avant de partir, mais j’ai refusé car ils n’étaient dispensés qu’en japonais.

La suite de ma grossesse aux Bermudes

Nous nous sommes installés aux Bermudes aux environs de ma 28ème semaine de grossesse, après quelques semaines de vacances en France. Passer d’une méga zone urbaine de 20 millions d’habitants à une minuscule ile d’environ 65 000 résidants, c’est dépaysant (heureusement, les Bermudes sont tout en longueur alors je n’ai pas trop l’impression d’être « confinée » sur un bout de caillou!)… A Tokyo, mon ventre n’était pas encore très « proéminant » alors je n’ai pas vraiment pu tester la réaction de gens avec une femme enceinte (par exemple, est-ce qu’ils se lèveraient dans le métro pour me laisser leur place? Ou encore, est-ce qu’ils m’aideraient à porter mes sacs de course?)… Aux Bermudes, les gens sont attentionnés mais j’ai l’impression qu’ils le sont avec tout le monde en général, femme enceinte ou pas! Ici, on salue tout le monde dans la rue, dans les magasins, au café ou dans le bus. Vous me voyez dire bonjour dans une rame de métro à Tokyo ou à Paris? La courtoisie des bermudiens a été pour moi une bonne surprise.

Fraichement débarquée, il a fallu d’abord choisir un médecin généraliste (GP pour General Practitioner) qui m’a écrit une lettre de référence à un gynécologue obstétricien (OB-GYN ou OB). Le GP est en fait votre family doctor et dans mon cas, il n’a servi que d’intermédiaire pour prendre rendez-vous chez le gynéco. J’ai choisi mon OB sur les recommandations d’une collègue de mon mari et aussi un peu au feeling (pas facile quand on ne connaît personne). De toute façon, vous imaginez qu’il n’y en a pas 36 de gynécos ici… Les Bermudes, ça se résume à 3 routes principales (North Road, Middle Road et South Road) et une capitale minuscule qui ne fait même pas 1 km2! Bon je plaisante, il y a aussi des plages magnifiques, mais trêve de digression géographique… J’ai donc pris rendez-vous chez Docteur Emery (une OB diplômée du Canada) et comme le courant est bien passé lors de la première rencontre, je l’ai gardée pour assurer mon suivi et mon accouchement.

Il n’y a pas d’échographies mensuelles comme au Japon, mais un minimum de 3 échographies obligatoires (les échos en 3D sont disponibles). Ensuite, en fonction de son médecin et de la façon dont se passe la grossesse, on peut faire des échos plus fréquemment. J’ai eu droit à deux échographies pour la fin de ma grossesse: une à mon arrivée, pour voir si tout allait bien comme le suggérait mon dossier médical japonais, et une autre pour vérifier la position du bébé. Après la 28ème semaine de grossesse, on a rendez-vous avec son OB tous les 15 jours pour un contrôle de routine. Et à partir de la 36ème semaine, j’ai eu rendez-vous une fois par semaine jusqu’à l’accouchement.

L’hôpital

Bermuda2Oui, j’ai bien noté « l’hôpital » car il n’y en a qu’un seul. En fait, il y a plusieurs cliniques sur l’ile mais les accouchements sont tous pris en charge au « King Edward VII Memorial Hospital (KEMH)« . J’ai entendu toutes sortes de critiques sur cet hôpital avant mon accouchement. De bonnes et de moins bonnes… Mon expérience a plutôt été réussie dans l’ensemble (voir ci-dessous le récit de mon accouchement « Le Jour J »).
L’hôpital est bien situé, près du jardin botanique, au centre de l’ile. Les équipements ne sont pas de la dernière génération (surtout si on compare au Japon) mais c’est suffisamment moderne et bien entretenu. Pour un accouchement « sans complications », par voie naturelle ou par césarienne, il y a tout ce qu’il faut. Et si besoin, les mamans et leurs bébés peuvent être évacués en un rien de temps vers les Etats-Unis (Boston généralement). Je crois que c’est déjà arrivé pour de grands prématurés.

Le personnel du KEMH a été formé soit au Canada soit en Angleterre, et plus rarement aux Etats-Unis. Il faut passer des tests d’accréditation supplémentaires si on possède un diplôme américain (apparemment, les diplômes américains sont moins bien considérés à cause du nombre d’années d’études plus court qu’en Europe ou au Canada). J’ai trouvé que les médecins et les infirmières étaient très professionnels.

La préparation à l’accouchement

Vous pouvez suivre soit les cours de préparation à l’accouchement de l’hôpital (donnés par les infirmières de la maternité), soit les cours dispensés par deux anciennes infirmières Rita Stevens et Liz Boden, qui ont créé « The Nurses’ Practice ». Il y a aussi quelques doulas sur l’ile, mais leurs prestations sont assez chères. J’ai donc choisi Rita et Liz car elles sont très connues et ont une bonne réputation: Rita est une ancienne sage-femme et Liz, une infirmière pédiatrique spécialisée dans le child development et tout ce qui touche les allergies (eczéma, asthme etc.). Elles dispensent des cours de préparation à l’accouchement « Lamaze Childbirth Classes » sur 5 semaines, 2h par semaine (350$ pour l’ensemble). Et aussi des parenting classes, notamment le « Amazing Baby Care Class » qui a lieu le samedi matin pendant 3h ($120 par famille – vous pouvez venir avec les grands-parents et/ou la nounou).

Les cours du Nurses’ Practice ne sont pas remboursés par la mutuelle mais ça vaut vraiment le coup! Rita et Liz sont adorables et pleines d’entrain. Un bon départ pour de futurs parents qui vont avoir leur premier enfant… En plus des techniques de respiration et de relaxation, elles vous donnent une check-list pour préparer le jour J et le retour de l’hôpital en toute sérénité. Comme les cours sont dispensés le soir (ou le samedi), tous les papas pouvaient être présents pour coacher leurs compagnes. Rita et Liz offrent aussi un suivi de l’allaitement en cas de besoin, et se déplacent à domicile. Enfin, elles nous ont donné plein d’idées d’activité pour les tout-petits, et une liste de livres que l’on peut lire à bébé dès la naissance. Les cours ont vraiment été sympas et intéressants, et nous y avons rencontré d’autres first-time parents avec qui nous avons gardé contact encore maintenant.

Le « Jour J » et le séjour à l’hôpital

Bermuda3Mon dernier rendez-vous avec mon OB a eu lieu deux jours avant le début de mes contractions. Elle m’avait dit ce jour-là en m’auscultant que j’étais dilatée de 1 cm mais qu’il restait encore 9 jours avant ma due date, donc pas besoin de s’alarmer. Mais comme j’avais des tiraillements au bassin depuis 3 semaines, je me suis dit que ça devait être pour bientôt! Deux jours plus tard, je me promène avec ma belle-maman dans le quartier… et hop, je me plie de douleur pour la première fois. Les contractions sont devenues vite très rapprochées, et de plus en plus longues, j’ai donc appelé mon mari pour qu’il revienne du bureau. Il était 14h. Vers 17h, nous sommes partis pour l’hôpital même si je n’avais pas perdu les eaux, car les contractions étaient vraiment très proches (en fait, c’est ma belle-mère qui m’a mise dehors car je ne voulais pas encore y aller, je redoutais que l’infirmière nous dise qu’il était trop tôt!).

Et heureusement que l’on est partis à ce moment-là, car arrivée à l’hôpital, j’étais déjà à 8 cm! Du coup, je n’ai même pas demandé la péridurale car je sentais que le « Petit Poulet » allait bientôt arriver! J’ai quand même eu droit au masque à « gaz hilarant » (mon mari l’a essayé aussi!), et j’ai pu pousser tout en étant consciente de tout ce qui se passait… Je suis la première étonnée du déroulement de mon accouchement car pendant les cours de préparation, je me disais: « Oui, oui, c’est sûr, je prendrai la péridurale! J’ai trop peur de la douleur etc.« . Et puis, finalement le « Petit Poulet » est arrivée à 21h01 sans aucune complication, et avec les 4 saisons de Vivaldi en fond sonore (j’avais apporté ma musique dans la salle de travail)! Quel bonheur…
Le séjour à la maternité s’est bien déroulé dans l’ensemble. Mais c’est là généralement que les avis divergent… Mon expérience a été plutôt bonne, mais plusieurs mamans de mon entourage n’ont pas aimé leur séjour au KEMH. La nourriture est correcte (pour un hôpital, j’ai trouvé que c’était même bien!), mais les portions n’étaient peut-être pas adaptées à tous les appétits. Il suffit juste d’avoir des casse-croutes supplémentaires, surtout quand on allaite en plein milieu de la nuit. J’ai trouvé les infirmières sympathiques, mais j’aurai quand même aimé plus d’attention surtout au début de l’allaitement. Elles sont certes expérimentées mais si tu ne fais pas toi-même la démarche de demander de l’aide, elles ne seraient peut-être pas venues donner des conseils d’elles-mêmes. C’est le seul bémol que j’ai trouvé: pas assez d’accompagnement pour le début de l’allaitement. Je ne suis restée que 3 jours au final, mais j’étais pressée de retourner à la maison pour être en famille.

Au niveau de la chambre, il n’y a que deux chambres privées (avec un seul lit) dans la maternité! Ensuite, il y a quelques chambres semi-privées (avec 2 lits) et une grande chambre commune (avec 4 lits). Les tarifs sont assez élevés (la chambre privée est autour de $1.700 par jour de mémoire), mais notre mutuelle avait accepté cette option. Malheureusement, ces chambres sont attribuées sur la base du first come, first serve! Et comme elles étaient déjà occupées le jour de mon accouchement, il a fallu que j’aille dans une chambre semi-privée avec le « Petit Poulet ».
Pour les visites à la maternité, il y a des horaires précis pour chaque type de visiteur (Papa, frères/sœurs, grands-parents et autres). Les papas ont les horaires les plus étendus et ils peuvent même rester pendant le quiet time (de 14h à 16h), alors que les autres visiteurs doivent quitter les lieux. Il y a un garde de sécurité devant la porte de la maternité, et il note toutes les personnes qui entrent dans le département. C’est assez rassurant, mais je ne crois pas qu’il y ait déjà eu un cas d’enlèvement de bébé aux Bermudes!

Suivi des bébés aux Bermudes

Elbow Beach, aux Bermudes

Elbow Beach, aux Bermudes

J’ai choisi mon pédiatre dès notre arrivée sur l’ile. J’ai pris celui qui était le plus expérimenté: Docteur Perinchief. Il suffit d’appeler son bureau et s’inscrire auprès de sa secrétaire. C’est un médecin très gentil mais un peu old school, il faut dire qu’il est proche de la retraite maintenant. Mais pour de jeunes parents sans expérience, il est impeccable. Il est venu voir mon bébé deux fois à l’hôpital, juste après l’accouchement et avant la sortie. Ensuite, on a des visites obligatoires à 1 semaine, 2 semaines, 4 semaines, 2 mois, 4 mois, 6 mois, 9 mois, 12 mois, 15 mois, 18 mois et 2 ans. Après, les check-up se font tous les ans.

Il y a également une infirmière pédiatrique du Health Community Center (équivalent du Ministère de la Santé) qui vient visiter les jeunes parents la première semaine après la sortie de l’hôpital. Elle est aussi revenue pour un check-up à 6 semaines. Et après, je suis allée régulièrement lui rendre visite à la clinique du quartier pour mesurer et peser notre « Petit Poulet » entre les visites au pédiatre. La clinique fournit aussi plein de conseils en allaitement et en diversification au moment voulu…

Pour ce qui concerne la paperasse, nous avons enregistré le « Petit Poulet » auprès des autorités dans la semaine qui a suivi l’accouchement. Mais il me semble que le délai est assez énorme (genre 30 jours!), donc pas besoin de se précipiter. Nous avions voulu un certificat de naissance rapidement car après, on devait faire les démarches pour le passeport français auprès du Consulat de New York. Et on a bien fait, car le passeport a mis 3 mois (ou plus, je ne sais plus) pour arriver jusqu’à chez nous.

Conclusion

Accoucher aux Bermudes s’est révélé moins cher qu’au Japon (mais je crois que le Japon est vraiment très cher sur ce point). Il est quand même préférable d’avoir une bonne mutuelle qui prenne en charge tous les frais d’accouchement. Et surtout, n’oubliez pas d’envoyer une demande d’entente préalable pour ne pas avoir à tout avancer! Si on totalise les visites chez mon OB-GYN, les diverses échographies, les frais d’hospitalisation pour 3 jours et les visites du pédiatre pendant mon séjour à l’hôpital, on doit tourner autour des $9.000 à $10.000.
Une chose à noter: la rééducation périnéale n’est pas obligatoire et les OB ne la prescrivent quasiment jamais ici. Il faut en parler à son médecin directement. Il y a quelques structures de yoga pré et post-natal qui peuvent vous accueillir. Et il y a également plein d’associations pour faire du sport ou juste pour se retrouver entre mamans et bébés!

Aujourd’hui, le « Petit Poulet » va bientôt avoir un an! Je l’ai emmené aux diverses réunions de Meet-A-Mum Association (MAMA Bermuda) dans son sling quand il n’avait que quelques semaines. C’était important pour moi de rencontrer de nouvelles personnes. Depuis quelques mois maintenant, j’organise le baby playgroup de MAMA, je mets en place un calendrier mensuel et je transmets toutes les infos pour que des mamans et des bébés (entre 0 et 16 mois) puissent se rencontrer une fois par semaine. On se voit soit chez une des mamans, soit dans divers endroits (aquarium, parc et plage en été…). Il va bientôt falloir que je trouve quelqu’un pour me succéder à l’organisation du playgroup, car le « Petit Poulet » grandit à grande vitesse! Mais si je ne retrouve pas du travail cette année, peut-être qu’il finira par avoir un petit frère ou une petite sœur?!

 

ExpatMio a.k.a. MumInBermuda
2010
Photos ©MumInBermuda

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